Croisement le l'analogique et du numérique datant des années 90, un signal de découpe vidéo branché en boucle sur une mémoire de trame contraint les électrons à tournoyer jusqu'à leur point de fusion tellurique. Alain Michel Caron improvise sur ces images une musique concrète et organique, inspirée de vents stellaires, de combustion d’étoiles.