Dans PRINCIPLE 5, Botborg établit la relation audiovisuelle à l’aide d’une boite isolée entourée de noir – le son est totalement synchronisé avec les couleurs en mouvements rapides contenues dans la boite. La scène est rompue par des élévations de bruit et des attaques qui provoquent des éclats de lumière, déforment les structures et inondent l’écran de bactéries contrastées, puis se transforme en un kaléidoscope dégénérescent d’une beauté hypnotique.