« Slavko Vorkapich défendait vigoureusement une vision du cinéma comme art autonome, qui, par l’organisation de la lumière et du mouvement, pouvait se faire l’égal d’une poésie visuelle, comme la musique par le pur jeu des harmonies. Ce film le démontre, tout en faisant l’observation de la délicatesse infinie du mouvement dans la nature. » - David Shepard