Le voyant se déplace sous des branches, traverse des champs et observe les espaces calmes de la création. Lumière et obscurité alternent, découvrant tour à tour une figure, un fantasme double, véritable énergie se métamorphosant dans le temps. Le voyant prend des notes, glane des eidolons. L’eidolon grec comme l’imago latine étaient des moulages funéraires on pouvait festoyer devant de telles effigies cependant l’étymologie glisse de l’idée à l’idole.