Dans IMPRINT, Louise Bourque se concentre de façon obsessionnelle sur des images amateurs de sa maison de famille, à l’air sombre et étouffant, ce qui transparait presque à travers l’écran; elle réutilise les images qu’elle transforme à plusieurs reprises – tintées, décolorées, en partie grattées – comme pour attaquer l’endroit, de sorte que l’obscurité devient lumière. (Fred Camper, The Reader, Chicago, 16 Avril 1999.)
IMPRINT…serre la gorge et consume une « image-mémoire » particulière (une famille sous une véranda dans une position ambiguë – au revoir/bonjour, se réunissant/se renforçant/célébrant quelque chose ?) un étrange daguerréotype à effet brillant et sensationnel qui produit un voyage très concret. (Edward Crouse, San Francisco Bay Guardian, 1998)