Un portrait d'animation dysfonctionnel de la tour de télévision éponyme sur la colline, gardienne du brouillard et des signaux électroniques dans cette ville sismique sur la Baie.
“ … Comme les deux principaux constituants de la musique accompagnant le film (des accords mineurs prolongés / le battement fracturé et hypercinétique d'une boîte à rythme) Sutro n'est jamais * pas* un affrontement de forces adverses. (Un clip ? A quoi pensais-je?) Laisse aller ton moi hégélien de dur à cuir.” - Michael Sicinski, Green Cine Daily