Méditations sur l'être et le mouvement développées artisanalement et inspirées par la Dream Machine de Gysin ainsi que par le mysticisme Soufi et le pré-cinéma. La connaissance de la fragilité de l'existence reflète la ténacité du matériau. Le film lui-même devient le lieu dans lequel on fait l'expérience de l'impermanence et révèle l'image en mouvement.
Sons prélevés et bouclés : Rimsky-Korsakoff, Gounod, Wagner, Burroughs & Gysin, The Master Musicians of Joujouka, musique et poésie Soufi.